Leurs noms sonnent aux oreilles du grand public comme autant de cavernes d’Ali Baba: »villa Montmorency », »Belgravia square »,country club,gated communities à Beverly Hills ou à Manhattan.
De Paris au coeur de Rio, de Los Angeles ou de Delhi,ces morceaux de ville en copropriété prolifèrent depuis trente ans.Les raisons en sont connues:sécurité, verdure,loisirs et voisins choisis.S’y ajoutent désormais la surveillance médicale,la remise en forme ou le souci communautaristes-entre végétariens,entre pratiquants d’une même religion,entre homosexuels…-tandis que les abords de ces « ghettos de riches » sont sous surveillance vidéo,gardés par des vigiles et toute une batterie de codes et de barrières.
-4ème de couverture. (date de publication : 12 février 2009)