La revue le Tigre devient un quinzomadère de huit pages. Le n°1 est dans les kiosques. Diams ne mange peut être pas de tarte Tatin , mais on a le droit d’apprécier l’une et l’autre . Petit détour précis et édifiant par le camp de Guantanamo . Quelques lignes d’une élégance absurde d’Eric Chevillard,d’autres textes savoureux et les désordres inspirés de Michel Butel  » Que peuvent des poètes en temps de crise? que peut la poésie? lire ici, en prologue de ce qui s’ensuivra : influer sur l’état d’esprit des êtres humains en vue de les rejoindre au sein d’une communauté à venir qui aura le souci d’honorer notre présence dans ce monde.Le Tigre n’est pas « L’autre journal », mais déja il est autre… cela nous  fait du bien.

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